La lettre du Guide du Ciel

N° 16 | 7 mai 2008

Si vous lisez cette lettre régulièrement, n'oubliez pas qu'elle ne constitue qu'un complément à mes différents ouvrages. Si vous ne les connaissez pas déjà, je vous invite à les découvrir sur le site d'amds-édition.

La plupart des textes, des illustrations, des cartes et des schémas qui suivent sont extraits du Ciel à l'œil nu (Nathan) et du Guide du Ciel (amds), deux livres annuels dans lesquels vous trouverez encore plus de renseignements pratiques et de phénomènes à admirer !

Les observateurs européens peuvent guetter les passages de la Station spatiale internationale plusieurs fois par nuit en mai et jusqu'au début du mois de juin. Ici, le couple passe à côté de la Lune et des Pléiades.

La Station spatiale internationale (ISS) est observable en France métropolitaine jusqu'au début du mois de juin. Jusqu'au 20 mai, elle apparaît dans le ciel de l'aube : un à trois passages sont visibles chaque matin avant le lever du Soleil. Après le 21 mai, l'ISS sera visible le soir en début de nuit et le matin en fin de nuit durant plusieurs jours, ce qui permettra, selon les lieux, d'observer jusqu'à 6 passages en 24 heures ! Après le 25 mai, les passages ont lieu en début de nuit jusqu'au 9 ou au 10 juin.

La prochaine mission de la navette spatiale américaine Discovery est actuellement programmée pour un décollage le 31 mai, ce qui nous permettrait d'assister à plusieurs passages doubles ISS-Discovery au début du mois de juin.

Pour savoir précisément où et quand observer les survols de l'ISS, consultez le site Heavens-above. En vous inscrivant (c’est gratuit), vous pouvez mémoriser des points d'observation différents et obtenir rapidement des cartes et des horaires de passage très précis. Le site d’Alphonse Pouplier donne aussi des horaires de passages :

Le site d'Alphonse Pouplier
Heavens-Above

Le samedi 10 mai en début de nuit, quelques heures après avoir été occultée par le quartier lunaire, Mars apparaît à côté de notre satellite.

En Europe, l’occultation se produit malheureusement en plein jour – entre 14 h et 15 h – et l’éclat de la planète, plutôt faible actuellement, sera difficilement perceptible sur un fond de ciel bleu au ras du limbe lunaire ; les observateurs les plus audacieux tenteront tout de même de l’apercevoir dans un instrument ; on ne sait jamais !

Le soir venu, notre compagne et le point orangé de la planète sont installés à une trentaine de degrés au-dessus de l’horizon ouest ; quatre degrés les séparent.

Le lundi 12 mai, Saturne et le Premier Quartier de Lune se rejoignent à la base de la faucille.

Deux heures après la fin du jour, ces astres sont à plus de quarante degrés au-dessus de l’horizon sud-ouest. La faucille, qui repose sur l’étoile principale du Lion – Régulus –, est l’autre appellation de la tête du céleste félin.

Cet « astérisme » – on nomme ainsi les groupes d’étoiles qui ne forment pas l’une des 88 constellations officielles – rassemble, outre Régulus, Êta Leonis, Algieba, Adhafera, Rasalas et Epsilon Leonis.

Si vous possédez une lunette, pointez-la sur Algieba : c’est l’une des plus jolies étoiles doubles facilement visibles dans les instruments d’amateurs et elle réunit deux astres géants à l’éclat jaune orangé.

Ce soir, Saturne, Régulus et la Lune forment un triangle inscrit dans un cercle de 3° à peine, il est donc possible de les admirer dans le même champ de jumelles. La luminosité de notre compagne commence à être éblouissante, mais Saturne et Régulus sont des corps suffisamment brillants pour s’imposer malgré tout.

Nuit du 24 au 25 mai | Le Soleil, les Hyades, les Pléiades et Vénus !

Vous n’aurez besoin d’aucune lunette, d’aucun télescope et d’aucun filtre pour observer la rencontre qui se déroule dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 mai. Il vous faudra, en revanche, disposer d’un ordinateur et d’une connexion à Internet !

Il s’agit, en effet, d’un rassemblement incluant le Soleil, Vénus étant en conjonction avec les Pléiades à quatre degrés seulement de notre étoile. Le seul moyen d’observer un tel phénomène est de vous rendre sur le site de la sonde SOHO, site sur lequel les images obtenues par les instruments de cet engin spatial, qui observe le Soleil 24 heures sur 24, sont diffusées pratiquement en direct et sont libres d’accès.

Rendez-vous à l’adresse indiquée ci-contre et cliquez sur les images de l’instrument appelé Lasco C3. Il s’agit d’un coronographe, c’est-à-dire d’une lunette dans laquelle un petit disque occulte l’éclat démesuré du Soleil, permettant ainsi d’observer son environnement.

Cet instrument est tellement performant que vous pouvez contempler les étoiles, les planètes et parfois même les comètes qui défilent dans son champ tout au long de l’année, comme un paysage derrière la vitre d’une TGV : une Terre à Grande Vitesse !

25 mai | La Lune roule sa bosse sous Jupiter

Samedi 24 et dimanche 25 mai, pendant toute la seconde partie de la nuit et jusqu’à l’aube, vous pouvez voir la Lune gibbeuse décroissante rouler sa bosse en compagnie de Jupiter, de l’horizon sud-est à l’horizon sud.

Six semaines avant son opposition – le 9 juillet –, la planète brille déjà d’un éclat impressionnant. Il est alors presque aussi fort que lors de sa dernière opposition – le 5 juin 2007 – car, cette année, la Terre sera à quelque vingt millions de kilomètres plus proche de la géante du système solaire.

Vous pourrez constater à l’oeil nu l’augmentation de sa luminosité et, dans une lunette ou un télescope, le disque jovien sera également un peu plus grand que l’an dernier.

Les conditions d’observation seront cependant toujours très moyennes en Europe. Installée dans la constellation du Sagittaire, Jupiter ne s’élèvera pas en effet à plus de 20° ou de 25° au-dessus de l’horizon sud et restera donc enlisée dans les strates les plus dégradées par les pollutions lumineuses et industrielles.

7 et 8 juin | Un croissant sous la crinière du Lion

Le samedi 7 et le dimanche 8 juin, un croissant lunaire rehaussé d’une magnifique lumière cendrée passe de Mars à Saturne.

Quelques jours avant de vous consacrer à l’observation de cette migration, si vous bénéficiez d’un site offrant un horizon nord-ouest lointain et dégagé, guettez l’arrivée du très fin croissant de la jeune Lune.

Mercredi 4 juin, l’arc de Séléné n’est âgé que d’une journée et il n’est visible qu’à quelques degrés de hauteur, une heure après le coucher du Soleil.

Le lendemain, le jeudi 5, son épaisseur a doublé et il est plus facile de le distinguer au sein des lueurs crépusculaires.

Deux jours après, le samedi 7 juin, notre satellite arrive dans les parages de la planète rouge, qui glisse régulièrement vers l’est et s’approche de la frontière de la constellation du Lion, une limite qu’elle franchira le 10.

Repérez ce couple, une heure et demie après la fin du jour, à une vingtaine de degrés au-dessus de l’horizon ouest.

Dimanche 8 juin, à la même heure, la Lune prolonge l’alignement défini par Saturne et Régulus.

D'autres conjonctions se produisent tout au long du mois à venir, retrouvez-les en détails dans Le Guide du Ciel 2007-2008 et dans Le Guide du Ciel 2008-2009.

Une lunette de 60 mm est indispensable pour observer les lunes galiléennes de Jupiter dans de bonnes conditions.

Il faut encore attendre quelques mois avant que ne débute la prochaine période des phénomènes mutuels des lunes de Jupiter.

Pour le moment, vous pouvez admirer un rapprochement très serré entre Io et Europe dans la nuit du 16 au 17 mai et un entre Io et Callisto dans la nuit du 21 au 22 mai.

Au milieu de la nuit du 21 au 22 mai, un instrument et un grossissement d’une trentaine de fois suffisent pour voir la paire Io-Callisto. Quelques heures plus tard, le globe jovien se retrouve sans aucun satellite galiléen visible pendant une vingtaine de minutes.

Entre 5 h 50 m et 6 h 09 m (TL), le disque de Jupiter apparaît sans aucune de ses quatre lunes galiléennes. Ganymède est occultée depuis 2 h 55 m ; Callisto est éclipsée depuis 3 h 10 m ; Europe est en transit devant le disque depuis 5 h 30 m et Io s’éclipse à 5 h 50 m. Une vingtaine de minutes plus tard, Ganymède émerge à l’est du disque jovien, mettant ainsi fin à cette situation inhabituelle.

La dernière fois que Jupiter avait pu être observée sans aucun de ses principaux satellites remonte au 8 novembre 2001. Notez aussi que si le phénomène se reproduira assez vite, le 3 septembre 2009, il nous faudra attendre jusqu’au 9 novembre 2019 pour l’observer de nouveau.

En Europe, Jupiter se situe au-dessus de l’horizon sud lors de ce rendez-vous, qui se produit pendant l’aube.

Au cours de la nuit du 20 au 21 mai, une grosse Lune gibbeuse est observable entre Antarès et Tau du Scorpion.

Moins d’un degré sépare l’étoile du limbe lunaire septentrional en milieu de nuit. Les deux astres sont alors à une quinzaine de degrés au-dessus de l’horizon sud-sud-est.

Du 21 au 24 mai, Mars passe au ras de l’amas ouvert de la Crèche. Pendant plusieurs jours autour de cette période, la planète rouge et l’amas sont visibles dans le même champ de jumelles.

Du 21 au 24 mai, en début de nuit, suivez aux jumelles ou dans un instrument optique plus puissant le déplacement de Mars au ras de l’amas ouvert de la Crèche, dans la constellation du Cancer.

Dans la nuit du 26 au 27 mai, la Lune gibbeuse décroissante frôle Neptune. Il faut grossir plusieurs dizaines de fois avec un instrument et faire sortir la Lune du champ pour parvenir à distinguer l’éclat plutôt pâle de la planète.

Le 27 mai à 4 h 49 m, la Lune est en conjonction géocentrique avec Neptune, à 0° 34’.

En Europe, la planète passe à moins de cinq minutes d’arc du limbe sélène boréal. Sa magnitude permet théoriquement de la repérer aux jumelles mais l’éclat lunaire est particulièrement gênant.

Il vaut mieux utiliser une lunette ou un télescope et grossir suffisamment pour faire sortir pratiquement toute la Lune du champ afin de voir Neptune à coup sûr.

Les deux astres sont à près de vingt degrés au-dessus de l’horizon sud-est.

Il se produit une occultation de Neptune par la Lune dans les régions suivantes : Afrique, extrême sud-est de l’Europe, Arabie et Asie centrale.

Vous pouvez prendre contact avec moi (mettre @ à la place de #) si vous désirez organiser une conférence dans les mois qui viennent.

7 juin 2008 : Planétarium de Vaulx-en-Velin/Festiciel (69) - L'observation du ciel.
17 août 2008 : Festival Les chants du ciel (30) - Soleil noir en Mongolie.

Explorez les sites Web des astrophotographes dont je présente des images dans mes conférences : http://www.leguideduciel.net/ressources/images.php

J’ai reçu cet ouvrage il y a déjà quelques semaines, mais, la fin de la préparation du Guide du Ciel 2008-2009 et, depuis, le travail sur un autre ouvrage dont je vous parlerai dans quelques semaines ont repoussé le moment où j’ai pu le lire sereinement in extenso.

Bon, autant le dire tout de suite, les auteurs – Laurent Laveder et Didier Jamet – sont des amis ; je les connais depuis la belle et brève épopée du site d’informations astronomiques Geoman.net au début des années 2000. Cette amitié n’aurait cependant pas été suffisante pour que je vous parle d’un mauvais livre ! Fort heureusement, Le Ciel, un jardin vu de la Terre est tout sauf un mauvais livre.

Bâti autour des photographies du ciel réalisées par Laurent Laveder, il permet, sur plus de 220 pages, de faire ou de refaire connaissance avec une multitude de phénomènes atmosphériques et célestes : les conjonctions, les phases et la libration de la Lune, les halos, les arcs-en-ciel, les mirages, le rayon vert, les éclipses de Lune et de Soleil, les filés d’étoiles, l’arche anticrépusculaire et la ceinture de Vénus, les aurores polaires, la lumière zodiacale, la Voie lactée, etc.

Les images sont belles et elles sont accompagnées de textes, de légendes et, parfois, de schémas, qui expliquent les phénomènes montrés. Le ton est vif, souvent plein d'humour, et l’on passe avec plaisir d’un phénomène au suivant. Chaque fois, des conseils d’observation et des conseils photographiques encouragent le lecteur à prendre son boîtier et à sortir immortaliser le ciel et ses habitants. Les auteurs ne sont pas avares d’indications techniques et l’on retrouve même, à la fin de l’ouvrage, un grand tableau récapitulant les données techniques de chacune des images. Mais la technique n’est pas tout, il y a aussi l’œil et le sens de la composition de Laurent Laveder qui parvient à jouer avec le premier-plan pour magnifier les paysages célestes qu’il enregistre.

Tout à la fois beau et pédagogique, ce livre vous séduira comme il m’a séduit. Et, ce qui n’est pas rien, il vous donnera envie de sortir pour guetter et observer tous ces phénomènes !

Le ciel, un jardin vu de la Terre
Photos : Laurent Laveder
Textes : Laurent Laveder, Didier Jamet
224 pages, 226 photos, 20 schémas
Dimensions : 23 x 30 cm
Editions Belin
Prix : 27,50 €
ISBN : 978-2-7011-4733-8

Découvrez le sommaire et un choix de pages :

cliquez ici pour télécharger le fichier pdf du sommaire et de ces pages

Le site de Laurent Laveder : http://www.pixheaven.net/
Le site de Didier Jamet : http://www.cidehom.com/

Le Viséclipse est un filtre parfaitement adapté à l'observation du Soleil. Il répond à toutes les normes de sécurité européennes et il est particulièrement recommandé pour les jeunes observateurs car il les protège bien mieux que les lunettes éclipses souvent trop grandes.

Le vendredi 1^er août prochain, le disque de la Nouvelle Lune passera devant le Soleil. En France, et plus largement en Europe, l'éclipse sera partielle au nord d'une ligne Bordeaux-Nice entre 10 h 30 m et 12 h 15 m. À Dunkerque, près de 21 % du diamètre solaire seront occultés par notre satellite.

Naturellement, comme à chaque fois qu'il s'agit d'observer le Soleil, il faudra prendre des précautions que je vous rappelle :

Ne regardez jamais le Soleil directement à l’oeil nu ; utilisez toujours un filtre protecteur et vérifiez systématiquement que l’instrument dans lequel vous vous apprêtez à observer notre étoile est équipé d’un filtre efficace.

Voici une liste, non exhaustive, de filtres dangereux ;il ne faut en aucun cas les utiliser. Lame de verre passée à la bougie ; un ou plusieurs CD ; filtre neutre photographique en verre ou en gélatine ; deux filtres polarisants croisés ; filtre fabriqué avec des négatifs de films couleurs ou N&B ou avec des radiographies ; filtre solaire vissé dans l’oculaire : proscrivez notamment tous les filtres « SOLEIL » ou «SUN» livrés avec les instruments du commerce ; lunettes de soleil ; emballages alimentaires et, par précaution, tous les filtres qui ne sont pas réputés sûrs !

Les filtres et les techniques suivantes permettent, en revanche, une observation prolongée et sans aucun danger de l’astre du jour.

Lunettes spéciales
N’utilisez que des lunettes portant le label assurant qu’elles répondent aux normes de sécurités européennes. Elles sont équipées de filtres en polymère noir ou en Mylar – aspect argenté ou doré. N'utilisez pas des lunettes qui auraient été pliées ou abîmées.

Viséclipse
Fabriqué à partir d’un verre de soudeur de grade 14, il permet une observation continue du Soleil. C’est le meilleur moyen d’observation pour un enfant, car les lunettes en carton, souvent trop grandes, peuvent laisser filtrer de la lumière sur les côtés ou le long du nez.

Solarscope
Inventé et mis au point par Jean Gay, astronome de l’observatoire de la Côte d’Azur, avec l’aide de la société française Light Tec qui le commercialise, le Solarscope est l’instrument qui présente le meilleur rapport qualité/prix pour montrer l’image projetée du Soleil à un petit groupe.

Par projection
Les lunettes et les télescopes du commerce sont souvent livrés avec un petit écran de projection qui s’accroche à l’aide d’une potence sur le porte oculaire. Ce système permet d’obtenir une image de l’ensemble du Soleil d’environ 10 cm de diamètre que l’on peut regarder sans danger.

Mylar ou AstroSolar
Ces deux matériaux se présentent sous la forme d’un film de résine couvert d’un dépôt d’aluminium. Celui-ci réfléchit 99,99 % du rayonnement solaire et protège efficacement vos yeux. La souplesse de ce film vous permet de le fixer simplement devant les objectifs de vos jumelles ou à l’entrée du tube optique de votre instrument (chercheur compris).

Filtre pleine ouverture
Le filtre pleine ouverture permet d’observer à forts grossissements et de réaliser des vidéos ou des photographies détaillées. Il se fixe devant l’objectif, donc à un endroit où il ne s’échauffe pas plus que s’il était posé sur une table au soleil, et il ne peut donc en aucun cas éclater.

Filtre H-Alpha
Les lunettes astronomiques équipées d’un filtre centré sur la raie principale de l’hydrogène, à 656,3 nanomètres de longueur d’onde, permettent de voir sans aucun danger la chromosphère solaire avec ses tâches, protubérances, spicules, filaments et autres facules.

Tous ces moyens de protection sont disponibles chez les principaux revendeurs de matériels astronomiques. Par ailleurs, Olivier Salé, l'inventeur du Viséclipse, m'a informé récemment qu'il proposait cet outil idéal en direct à 1 € ! Prenez contact avec lui pour connaître les modalités d'expédition : viseclipse#wanadoo.fr (remplacez le # par @).

Comme je l’écrivais dans une précédente lettre, j’ai changé de matériel photographique et je me retrouve à présent avec une série d’objectifs Nikon dont je n’ai plus l’emploi. Ce sont les optiques que j’utilise depuis des années pour réaliser la plupart des images qui illustrent mes différents ouvrages. Il s’agit d’un objectif grand-angle Nikkor de 20 mm ouvert à 4, d’un téléobjectif Nikkor de 300 mm ouvert à 4 et d’un zoom Nikkor 35-70 AF ouvert à 2,8. Le 20 mm et le 300 mm sont de bonnes optiques que l’on peut encore utiliser sur les boîtiers numériques modernes en mode manuel ; le 35-70 mm est une optique AF à ouverture constante d’une qualité exceptionnelle et qui peut être utilisée sur les nouveaux boîtiers aussi bien en mode manuel qu’en mode automatique.

Je dispose par ailleurs de 2 télécommandes récentes, l'une pour Nikon et l’autre pour Canon. Elles sont neuves, dans leur emballage d’origine, et permettent de faire des poses longues, avec une fonction d’intervallomètre, de retardateur, de pose T et un système de blocage de l’obturateur. La Nikon est compatible avec les boîtiers D100/D200/D300/F90/D2/D1/F5/F6 et Kodak DSC-14 ; la Canon avec les boîtiers EOS 30D/5D/1D/1DS/1DS II/10D/20D/D30/D60/1V/S.

Prenez contact avec moi pour plus de détails sur ce matériel.

Des infos sur...

Activité solaire et phénomènes atmosphériques et astronomiques
Spaceweather est LE site qu'il faut avoir dans son carnet d'adresse et auquel il faut rendre visite chaque jour pour voir les dernières images du ciel prises par des amateurs sur toute la planète et des infos chiffrées sur l'activité de notre étoile.
http://www.spaceweather.com/

Calendrier journalier de 2007 à 2009
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Dernières comètes découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec tous les éléments orbitaux et les éphémérides des comètes potentiellement observables.
http://cfa-www.harvard.edu/iau/Ephemerides/Comets/index.html

Dernières novae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières novae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/Headlines.html

Dernières supernovae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières supernovae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/lists/RecentSupernovae.html

Éclipses de Lune et de Soleil
Les cartes et les horaires des prochaines éclipses observables dans le monde, avec des liens vers les sites de Fred Espenak (NASA) et de l'Imcce pour plus de détails.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/eclipses.php

Éphémérides quotidiennes des planètes
En complément de la version papier du Guide du Ciel, je mets à votre disposition chaque mois des fichiers au format pdf avec les éphémérides quotidiennes des planètes pour 45° de latitude nord et 0° de longitude.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Jour julien en 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Longitudes héliocentriques et géocentriques des planètes et du Soleil en 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Occultations d'étoiles par des astéroïde
Le site tenu à jour par Éric Frappa, vous dit tout ce qu'il faut savoir pour observer ces phénomènes.
http://www.euraster.net/

Phases de la Lune de 2002 à 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Phénomènes astronomiques jour par jour
Cette page vous donne accés à tous les phénomènes publiés dans le Guide du Ciel depuis le mois de mai 2001.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Temps sidéral moyen de Greenwich en 2008
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Trajectoires des satellites de Jupiter
Les courbes mensuelles des satellites galiléens de Jupiter.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/schemas/200805Jup.jpg

Trajectoires des satellites de Saturne
Les courbes mensuelles des principaux satellites de Saturne.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/schemas/200805Sat.jpg

Découvrez des extraits des pages "Les phénomènes astronomiques au jour le jour" du Guide du Ciel 2007-2008 :
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/jpj200805.php